Les femmes de Kissidougou sont désormais mobilisées dans des d’autres structures complémentaires, résolument tournées vers le développement.

La première structure concerne toutes les femmes de la Commune Urbaine (CU) et la deuxième couvre toute les femmes des 13 Communes Rurales (CR) et urbaines de la préfecture, sans distinction de quelque nature.

Elles se sont dotées, chacune, d’un bureau et de façon consensuelle. Pour la CU, elles sont 37 membres, présidé par Elisabeth Oularé, institutrice, celui préfectoral 43 présidés par Marie Madeleine Kamano, ingénieure agronome.

La tenue, le weekend dernier, de l’Assemblée générale constitutive, sous la présidence du préfet de la localité, El hadj Mamoudou Cissé, vient combler un vide juridique de 15 ans. Durant lesquelles, les femmes de Kissidougou partaient en rang dispersé.

« Aujourd’hui, c’est chose faite elles vont désormais évoluer en communion d’idées et d’actions, afin de participer activement, de façon efficace, au développement de la préfecture », ont affirmé les deux premières responsables.

Pour sa part, le préfet de Kissidougou, El hadj Mamoudou Cissé s’est réjoui de cette nouvelle dynamique des femmes de sa préfecture et de leur vision du développement. Il a rassuré l’ensemble des femmes de Kissidougou, à travers ces deux bureaux, du soutien des autorités à tous les niveaux.

AGP