Après l’Assemblée Nationale du Mali, c’est désormais le monde de la justice qui a une affaire plus ou moins similaire. Une affaire de mœurs. Une incompréhension entre deux amoureux prêts à en découdre désormais.
Votre reporter a été contacté par une femme au-delà de la quarantaine, pour une histoire inédite. M. Kanté détenait en sa possession des enregistrements audio d’un membre de la Cour des comptes du Mali, en la personne d’A.M Sidibé. Tous deux originaires de Kita (située à environ 1000 km de la frontière Guinéenne), ils étaient en couple depuis plus d’une année.
Madame Kanté a indiqué avoir des soucis de santé, du fait d’une pratique ratée lors d’un moment d’intimité avec son désormais ex-conjoint. La tension est montée, car des frais médicaux ont suivi et la facture des soins a divisé. Après avoir sollicité entre autre le parti SADI du feu-follet député Oumar Mariko, l’ONG Wildaf de la jumelle de la ministre de l’enseignement supérieur Assetou Mignan Samaké et plusieurs personnages clés, M. Kanté n’a pas eu gain de cause !
Approché par nos soins, le magistrat Sidibé a répondu à toutes nos questions sans langue de bois. S’il a reconnu en partie les faits, il a indiqué avoir à disposition 250.000 CFA, ce qu’ a rejeté M. Kanté qui demande pas moins de 2 millions CFA. Par contre, il indique être victime d’un coup monté, pour avoir été enregistré à son insu et induit en erreur. Mieux, il met en avant un harcèlement de son ex-copine, dont les exigences financières et matérielles devenaient de plus en plus démesurées.
- M Sidibé ne compte pas céder d’un pouce et nous a annoncé, avoir porté plainte au niveau de la gendarmerie du camp 1, où il compte en découdre. Chacun campe donc sur sa position dans cette nouvelle saga sexuelle, qui n’a pas fini de sortit tous ses secrets.
On peut bien le dire : Bamako a eu affaire ! Encore !
Idrissa KEITA pour GCI pour JMI
Correspondant particulier de JMI au Mali
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