COMMUNIQUE DE PRESSE |
Les flux d’IED vers l’Afrique sont menacés par l’incertitude économique mondiale – les gouvernements et les investisseurs se réunissent pour envisager les solutions possibles |
Pour les gouvernements africains, ce sont les investissements directs étrangers et l’accès au financement abordable nécessaires pour stimuler le développement, et plus particulièrement, pour combler le déficit d’infrastructure estimé à 900 milliards de dollars, qui sont en jeu |
NAIROBI, Kenya, 10 mai 2017/ — Lors d’une table ronde organisée à Nairobi, les ministres de toute l’Afrique se sont réunis avec des investisseurs et des représentants du secteur privé afin de déterminer la meilleure façon d’aborder les obstacles en matière de risque de crédit et d’investissement, et de résoudre la problématique africaine. Les participants à la table ronde considèrent l’événement comme opportun dans la mesure où il a lieu à un moment d’incertitude géopolitique qui, selon la Banque mondiale, pourrait conduire à « Pour les gouvernements africains, ce sont les investissements directs étrangers et l’accès au financement abordable nécessaires pour stimuler le développement, et plus particulièrement, pour combler le déficit d’infrastructure estimé à 900 Le forum d’une demi-journée, qui constitue la 4e table ronde consacrée aux risques politiques et de crédit en Afrique, s’est déroulé en marge de l’Assemblée générale annuelle de l’Agence pour l’Assurance du Commerce en Afrique (ACA) (www.ATI-ACA.org). « Le partenariat public-privé s’impose donc comme la réponse aux besoins d’investissement structurants de nos États. Se présente alors la nécessité de disposer d’outils appropriés permettant des investissements malgré la persistance de la perception de risque élevé en Afrique. Dans ce contexte, l’assurance-crédit constitue entre autres un outil efficace pour répondre à ce défi. » Les discussions qui ont suivi étaient axées sur la recherche de solutions pour relever les défis rencontrés par les gouvernements et les agences de crédit, par le biais d’intervenants tels que
Les investisseurs ne sont pas immunisés contre les événements politiques et sociaux qui ont lieu dans les régions émergentes telles que l’Afrique. En fait, en raison des gains réduits (l’indice boursier de référence des marchés émergents a perdu environ 4 Dans un article de Bloomberg publié en mars « Dans ce climat, il est plus impératif que jamais que les gouvernements africains se concentrent sur la diversité économique afin de soutenir la croissance tout en tenant compte des risques pour les investisseurs. En tant qu’institution africaine respectée à l’international, l’Agence d’assurance de commerce africaine (ATI) offre la solution idéale, précisément parce que la société dispose de solides relations avec les gouvernements, et parce que ses évaluations des risques et ses solutions d’atténuation sont considérées comme crédibles par les investisseurs et financiers mondiaux. Lorsque l’ACA est impliquée dans une transaction, les gouvernements sont en mesure d’assurer la sécurité des investisseurs et des fournisseurs contre toute une série de risques d’investissement. En 2016, l’ACA a assuré près de 2 Dans cet environnement, les produits de l’ACA sont considérés comme des outils précieux permettant aux prêteurs de prendre des risques d’investissement modérés en Afrique, et aux gouvernements et aux entreprises d’accéder à un financement plus abordable. Surtout, dans son rôle d’assureur de dernier recours, l’ACA fournit également le confort nécessaire pour accueillir des investissements continus sur le continent en pleine période d’incertitude. Source : African Trade Insurance Agency (ATI). |