L’événement a attiré des participants de tout l’écosystème du jeu en Afrique, y compris ceux qui travaillent dans l’animation, la conception et la vente des technologies liées aux jeux |
Le Festival du Jeu vidéo et de l’électronique d’Abidjan (FEJA) (www.FEJA.ci) a ouvert ses portes ce 11 novembre, au Palais de la Culture d’Abidjan, en Côte d’Ivoire. Il rassemble des milliers de passionnés de jeux venus de toute l’Afrique, autour du thème le jeu vidéo en Afrique, c’est possible. Au cours du mois de septembre, des adeptes du jeu ont participé aux tournois de qualification. Ce sont au total 256 joueurs venus de 6 pays d’Afrique qui ont été sélectionnés. Objectif ? S’affronter et tenter de remporter des récompenses de plus de 10. 000 euros. L’événement a attiré des participants de tout l’écosystème du jeu en Afrique, y compris ceux qui travaillent dans l’animation, la conception et la vente des technologies liées aux jeux. L’industrie naissante du gaming en Afrique prend de l’ampleur avec des jeux à thèmes africains, la création des studios locaux et la croissance rapide des revenus liés aux jeux disponibles sur téléphones mobiles. Le Festival du jeu et de l’électronique d’Abidjan se déroulera pendant deux jours. u Il présentera le meilleur de l’e-sport en Afrique et offrira aux participants l’occasion de se connecter à des jeux, de gagner des prix et de faire partie de l’une des industries les plus dynamiques en Afrique. IMAGES ET SONORES TITRE : Un festival pour développer et Africaniser l’industrie des jeux vidéo et l’électronique – Sidick Bakayoko, Organisateur du Festival du Jeu vidéo et de l’électronique d’Abidjan (Feja) SONORE 1 – Sidick Bakayoko Organisateur de l’événement (Français 26 sec 🙂 ‘’L’enjeu majeur c’était vraiment de montrer à la population ivoirienne et Africaine de façon générale que le jeu vidéo en Afrique c’est possible. Nous souhaitons mettre autour de la même table tous les acteurs de jeu vidéo, que ce soit les éditeurs de jeu, que ce soit les constructeurs de machines, que ce soit les personnes qui jouent elles-mêmes aux jeux vidéo pour qu’elles puissent voir qu’effectivement, il y a un éco système qui doit se construire. Pour nous, déjà au niveau du festival, nous souhaitons que ce soit un événement annuel qui draine vraiment beaucoup de personnes de la sous-région en Côte d’Ivoire ici pendant le festival pour que cet éco-système puisse se développer et que cet événement devienne une référence.’’ SONORE 2 – Mahaman Sani Housseyni (PDG de Mog Media Design, NIGER) (Français 29 sec 🙂 ‘’ ’’ ‘‘C’était vraiment une occasion pour moi de venir, de rencontrer peut-être d’autres personnes qui conçoivent des jeux comme moyen d’échanger et de voir ce qu’on pourrait faire pour mieux enrichir la culture du jeu vidéo en Afrique. J’ai accepté de participer à l’événement parce que c’est un événement qui promouvoir vraiment l’Afrique dans les jeux vidéo. Nous savons qu’en Afrique ici, il n’y a pas beaucoup de jeux vidéo, il n’y a pas beaucoup de concepteurs de jeux vidéo non plus et que ce genre d’événement ne se passe pas tout le temps. SONORE 3 – Kunmi Adenipebi (PDG, Naija Game Evolution,NIGERIA (Français 16 sec 🙂 ‘‘Créer des entreprises de jeux vidéo en Afrique est difficile à cause de l’aspect financier. Nous avons beaucoup de jeunes talentueux qui peuvent créer des jeux, qui peuvent créer des codes, qui peuvent animer mais le problème se sont les finances.’’ SONORE 4 – Selasie Brown (République Gamers, Ghana) (français 17 sec) : ‘’Les jeux vidéo que nous achetons, à l’exception de l’Afrique du Sud, sont achetés dans d’autres pays. Parce que nous achetons aux Etats-Unis, en Angleterre et en Chine et ensuite venons vendre dans la sous-région… Due à la disponibilité d’internet, maintenant tout le monde est capable d’aller sur cette plateforme. La connectivité pour jouer des jeux avec plusieurs joueurs, c’est là que vous réalisez qu’internet joue un rôle central. Image 3 min 01 -00 :00 :00 Plan large cérémonie d’ouverture au palais de culture Distribué par APO Group pour APO Group – Video Production. |