À ce moment-là, la bande avait les membres suivants :
Rochereau qui était président et chanteur, Dr Nico était chef d’Ochestre et guitariste solo, Faugus Izeidi était guitariste mi-solo et l’administrateur du groupe, Willy Kuntima et Jeef Mingiedi à la trompette, Dépuissant qui était percussioniste. Dechaud (le frère de Nico) un guitariste rythmique) Le groupe s’est bien débrouillé pendant la saison. Dans les magasins de disques et les boîtes de nuit, la Fiesta Africaine gagnait là où elle comptait.
Les chansons des sessions de Bruxelles se sont écoulées très peu de semaines et de nouvelles chansons exaltant le nom de la Fiesta Africaine ont été enregistrées à Léo et lors d’un deuxième voyage à Bruxelles en 1964. Iziedi, Nico et Rochereau sont arrivés à un arrangement de partage des responsabilités qui semblait, pour le moment du moins, contenir les impulsions agitées de l’égotisme et de la paranoïa.
En 1964, Rochereau compose une chanson N’daya où Nico jouait Rythm Dechaud (le frère de Nico) en solo. Les deux frères ont formé le duo de guitare ultime de la musique.
Plus tard cette année-là, le bassiste Joseph Mwena a rejoint Ngoma, le frère cadet de Roger Izeidi Faugus jouant le chanteur de maracas Paul Mizele et une jeune chanteuse nommée Photas Myosotis ont également rejoint le groupe.
Un autre élément distinguait la Fiesta Africaine de ses rivaux de placard. Où O. K Jazz et Orchestre Bantou ont champion du saxophone, la Fiesta Africaine a contré avec la trompette de Dominique ‘Willy’ Kuntima. Ce gars attaquerait sa trompette avec une incroyable férocité.
Au début de 1965, African Fiesta a attiré le chanteur Kwamy Munsi loin d’O.K. Jazz. Plus tard dans l’année, Franco découvrit que la Fiesta Africaine avait contacté Georges Kiamuangana, le saxophoniste bien connu sous le nom de Verckys, pour jouer pour eux. Marre de telles manipulations, Franco a placé une lettre ouverte dans un journal. Il a accusé African Fiesta d’aller au-delà d’une simple recherche de musiciens et d’essayer de sous-otage O.K. Jazz. « Nous vous informons par la présente qu’à partir de demain le 3 du mois en cours [3 juillet 1965] », écrit Franco avec sarcastique, » tous les musiciens d’O. K Jazz, mendiant avec Franco et Vicky sont à votre disposition. «
En effet, la parole de Franco a poussé Verckys à rester dans O.K. Jazz, mais l’affaire n’a pas reposé là. L’une des premières compositions de Kwamy pour la Fiesta Africaine était une pièce satirique intitulée « Faux Millionnaire » (Faux Millionare). Au début, écoutez ça ressemble à un commentaire simple sur la situation difficile de ceux qui, pour le bien du statut, vivent au-delà de leurs moyens. « Matondo, prête-moi de l’argent’ Kwamy chante avec Nico’a guitare laconique chimimg derrière lui. Dans cette ong Kwamy accusait O.K. Jazz spécifiquement Franco de retenir son argent, et donc les titres « Faux Millionnaire. »
Et devinez quoi, Franco répondit avec une chanson Chicotte
En octobre 1965, Roger Izeidi s’est rendu aux États-Unis pour enquêter sur les opportunités d’affaires pour lui-même et pour la Fiest Quand il est revenu, Izeidi s’est heurté à dégonfler les charges de son partenaire, Docteur Nico. Le principal d’entre eux était l’affirmation de Nico selon laquelle Izeidi avait illégalement pressé des disques sur un label anonyme ASL (Associated Sound Limited, une vraie société kenyan), qui ont ensuite été vendus dans d’autres pays.
En tant que chef d’Orchestre de la Fiesta Africaine, Nico a pris sur lui de virer Izeidi. Il a aussi laissé entendre que Tabu Ley était impliqué aussi et qu’il s’occupera de lui bientôt. Les trois leader avaient des parts égales (1 ⁄3) dans les ventes et l’accord. Et comme Nico n’était qu’un tiers des trois membres de l’équipe de direction, il a été éliminé.