Fils d’un chanteur et d’une chanteuse, sa voie était toute tracée, pour qu’il suive la voie de ses parents. A 15 ans, en 1955, il quitte les bancs pour prendre le micro dans certaines formations musicales de Brazzaville, puis à Léopoldville (Kinshasa). En 1962, il retourne à Brazzaville et prend la tête du Cercueil jazz. C’est à partir de 1967, qu’il entamera une carrière solo, à laquelle il doit toute sa notoriété.
SUPPLEMENT
Franklin Boukaka & Keletigui et ses Tambourinis
En 1970, Franklin Boukaka, panafricaniste convaincu, enregistre pour les Editions Syliphone de Guinée des 45 tours : « M’bongi eyi / Tata aleleti mingi » ou encore « Munu ngiedi / Kitoko mingi » et « Unité Africaine » & « Kitoko Mingi » avec l’orchestre Kélétigui et ses Tambourinis de Conakry, réalisant ainsi un croisement de rumba congolaise et de musique mandingue… et un pont culturel entre l’Afrique centrale et l’Afrique occidentale.