J’écoute le morceau en question qui n’est, avouons-le, pas un chef d’oeuvre, je ne suis pas favorable à certains propos mais je respecte son art. C’est cela la culture de la liberté d’expression.
Chacun a sa stratégie pour maintenir sa présence médiatique. Le timing des uns ne doit pas s’imposer à tous. Chacun a son centre d’intérêt. Et quand on est démocrate, on n’accepte les différences.
Nombreux sont les Ivoiriens qui se plaignent aujourd’hui d’Aicha Koné, qui auraient applaudi sur une artiste malienne avait, chanté, au même moment, à la gloire d’Alassane Ouattara et auraient défendu cette dernière, si des Maliens (sans aucun doute possible) la matraquaient.
N’ayons donc pas de réactions à géométrie variable et restons dans les principes. Ce que l’on reprocherait à autrui, ne le faisons pas nous-mêmes.
Ma position est constante, elle relève de l’acceptation du jeu démocratique.