Un nouveau Focus Report, produit par Oxford Business Group (OBG), en partenariat avec l’Organisation Africaine des Zones Economiques (AEZO), explorera le potentiel que recèle la Zone de libre-échange continentale africaine (AfCFTA) en tant que moteur du commerce intra-régional en reliant les marchés locaux.
Intitulé « Zones économiques spéciales d’Afrique », le rapport fournira une analyse approfondie du potentiel du continent pour une intégration régionale renforcée dans un format facile à naviguer et accessible, en se concentrant sur les données clés et les infographies relatives au paysage socio-économique de l’Afrique.
Le rapport mettra en lumière les zones économiques spéciales (ZES) d’Afrique, en examinant en détail le rôle qu’elles sont censées jouer pour stimuler l’industrialisation et la facilitation du commerce transfrontalier.
Ce dernier suivra les développements en cours dans les différents pays membres de l’AEZO, en analysant les données clés d’un large éventail de paramètres, tels que les volumes d’échanges, les modèles commerciaux, les cadres réglementaires et l’accès au financement.
D’autres questions d’actualité seront analysées, notamment l’impact du Covid-19 sur le commerce intra-africain et la manière dont cette situation est gérée.
Dans le rapport, Ahmed Bennis, secrétaire général de l’AEZO, partagera ses réflexions sur un large éventail de questions, notamment sur la manière dont les ZES peuvent tirer parti de la demande croissante d’industrialisation sur le continent, l’AfCFTA étant
désormais en marche.
« Les zones économiques spéciales ont un rôle clé à jouer pour renforcer l’attractivité des marchés africains, tout en contribuant à l’expansion des économies locales », a-t-il déclaré. « J’ai hâte de
suivre leur développement avec Oxford Business Group et d’explorer ce que les ZES peuvent faire pour stimuler l’investissement dans ce rapport important et opportun. »
S’exprimant avant la publication du rapport, Karine Loehman, directrice régionale d’OBG pour l’Afrique, a déclaré que les ZES occupaient une place centrale dans les efforts déployés par l’Afrique pour attirer les IDE, avec plus de 200 ZES désormais établies sur le continent.
« Il reste des défis à relever pour leur développement, comme l’accès aux terres et la fourniture d’énergie », a déclaré Loehman. « Toutefois, les possibilités de jouer un rôle dans l’histoire de la croissance de l’Afrique en développant les activités industrielles, logistiques et de services essentielles dont les entreprises ont besoin sont énormes. »
« Zones économiques spéciales d’Afrique » fera partie d’une série de rapports sur mesure qu’OBG produit actuellement avec ses partenaires, aux côtés d’autres outils de recherche très pertinents et incontournables, notamment une série d’articles et d’entretiens sur les
perspectives de croissance et de reprise spécifiques à chaque pays.
APO Group pour JMI