L’humanité a célébré dimanche dernier, la journée mondiale sans Face Book. Il était question de mener des interviews auprès  des utilisateurs pour s’enquérir ses  avantages dans la facilitation de création de novelles  relations entre des individus vivant dans des horizons différents, mais aussi, s’informer de ce qui passe à travers le monde entier. Cependant, évoquer  également les  conséquences néfastes de ce réseau social dans la formation de la jeunesse.

Les objectifs de cette journée: réduire son utilisation et en son absence, constater son importance dans nos sociétés contemporaines.

Pour Etienne Fara LENO, étudiant  en Sociologie à l’université de Général Lansana CONTE de Sonfonia, Face book  permet de tisser des relations mais a un impact négatif pendant les cours : « à travers ce réseau social, l’on se renseigne de ce qui se passe à travers le monde, tisser des relations et puis promouvoir  la culture. De nos jours, des étudiants ainsi que des élèves, au lieu de suivre les cours, en plein cours, ils préfèrent se connecter sur Facebook  pour raconter n’importe quoi », a-t-il regretté.

Ce réseau social  a pris de l’ampleur dans la vie de tout un chacun particulièrement, la jeunesse qui est devenue très accro. Il contribue à la dénaturation des sociétés africaines, facilitant aux jeunes filles qui n’ont même pas l’âge de la puberté de s’informer et de se livrer à certaines pratiques destructives, notamment sur la sexualité.

Cette journée est passé sans assez beaucoup d’échos en Guinée, les médias devraient largement diffuser des informations dans le contexte d’usage de Facebook, mais ce ne fut point le cas.

Cette journée devrait permettre aux accros, de pouvoir réfléchir autour de ce réseau social, en optant  uniquement pour son côté positif.

Momo SOUMAH pour JMI

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