TINO DIAKITE: Aujourd’hui, je rends grâce à Dieu, figurez vous c’est en 1994 que j’ai commencé un plaidoyer informel avec le quotidien national Horoya. À l’époque on traitait de rêveur et que je parlais face à un mûr de béton. Je leur ai dit que je vais persévérer et que mon projet va tomber dans une oreille attentive. Aujourd’hui le rêve commence à devenir une réalité, on inaugure le siège du cocan guinée 2025, dans quatre ans s’il plaît à Dieu toutes les infrastructures seront prêtes pour recevoir la compétition en 2025.
BEKEN: C’est un sentiment de fierté pour moi car l’organisation d’une CAN chez nous peut-être un tremplin pour le développement de notre pays dans tous les domaines; ça va permettre de réaliser des infrastructures de base tels des stades, des routes, des hôtels etc.. Ça va aussi rapprocher les populations. Donc organiser cette CAN chez nous est une voie tracée pour le développement de nitre pays.
CHERIF SOULEYMANE: c’est un sentiment de fierté, grand sentiment bien qu’on aurait pu faire ça plutôt au moment où la Guinée était au firmament du football africain, ce qui nous aurait donné l’occasion d’avoir d’autres trophées car c’est le seul trophée qui nous manque au palmarès Nous pensons qu’avec ce qui se passe aujourd’hui , que Dieu nous donne la chance d’être tous là en 2025 pour accompagner les jeunes dans l’apothéose.
BERNARD SYLLA gardien de but: Le fait même d’apprendre que notre pays la Guinée est programmé pour organiser une CAN est un plaisir pour moi, ça me rend heureux. Nous souhaitons que ça voit le jour. Et chacun doit s’y mettre, que chacun donne un peu de ce qu’il peut faire pour que ça ne recule pas mais qu’on avance, chacun doit en faire son problème pour que l’honneur de notre pays la Guinée.
CALVA: le fait même d’apprendre pour une première fois que la Guinée doit organiser une coupe d’Afrique des nations nous rend heureux. C’est une grande fierté pour moi.Quand on sait que depuis l’indépendance de notre pays la Guinée on a jamais effleuré cette phrase d’organisation d’une coupe d’Afrique des nations chez nous, et que cette opportunité se présente à nous, nous la saisissons et nous sommes fiers d’être guinéens pour organiser cet événement.
MOUSSA SULER CAMARA: Je suis Moussa Siler Camara, ancien sociétaire du Hafia Football Club, Président de l’association des anciens footballeurs internationaux de Guinée. Comme vous l’avez si bien dit c’est un événement exceptionnel, aussi une première pour la Guinée, une première expérience que nous devons exploiter, surtout que de seize on est parti pour vingt quatre équipes, donc c’est un événement qu’il faut gérer avec une grande attention. Ce que je lancerais comme appel aux uns et aux autres, c’est d’abord une volonté politique car il y’a une question financière, administrative et surtout humaine. Nous avons donc la chance se nous exprimer et prouver au monde entier que nous pouvons faire beaucoup. Encore une fois je souhaite bonne chance aux organisateurs que nous sommes et que Dieu nous donne longue vie jusqu’à ce jour.
PETIT SORY: Je suis content que ce qu’on avait toujours souhaité commence à devenir une réalité que nous devons concrétiser. Avec 24 équipes l’organisation n’est pas facile, mais comme mon pays la Guinée est un pays des défis, je suis sûr que nous nous montrerons à la hauteur de l’événement. Mon souhait est que nos jeunes c’est à dire notre équipe nationale aille jusqu’en finale et remporte la coupe…