Le Delta de la Cuvette se veut un projet phare pour le développement économique et social, ainsi que pour le renforcement de l’indépendance financière et énergétique de la République du Congo. Sa mise en œuvre a nécessité des investissements de l’ordre de dizaines de millions de dollars.
Au regard de son envergure, ce projet suscite, à juste titre, des questions sur la prise en compte de l’impact environnement et social dans sa réalisation. La société SARPD OIL a mobilisé un cabinet d’experts en la matière, pour mener à bien cette étude d’impact environnementale et social.
Sur le plan social, l’entreprise construit une école au profit des populations locales, a affirmé l’orateur. Nécessitant des investissements de l’ordre de dizaines de millions de dollars, ce projet a créé près de trois milles emplois directs et indirects, notamment par les différents prestataires de services et parmi les populations locales.
Cette étude sur l’impact environnemental et social menée par le cabinet français, Eosis a été validée par le ministère du tourisme et de l’environnement, selon Corentin Poba Ngouama.
Sur les documents mis à la disposition de presse, pour la circonstance, on peut comprendre, en s’appuyant sur la déclaration du PDG de la société SARPD OIL International, Claude Wilfrid ETOKA, que : « Dès l’origine de la mise en œuvre du projet » les acteurs impliqués dans ce projet, ont « souhaité anticiper les risques, prévenir toute forme d’impacts, maîtriser les situations possibles, pour faire du projet ‘le delta de la cuvette un symbole de développement au service du pays ».
Le Delta de la Cuvette se situe dans une région encore inexploitée, en ce qui concerne les réserves pétrolières. Ce projet représente, à coup sûr, un espoir pour tous les Congolais.
MIATOLOKA Boryce Agapyth pour JMI
Correspondant particulier de JMI au Congo
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