A la rivière #Bembeya, source patronymique du légendaire orchestre. Incontournable pèlerinage pour moi, qui ai co-écrit un livre sur ce groupe dont l’exemple est épique.
Cependant, l’on quitte les lieux, avec un frustrant sentiment d’abandon. Une négligence coupable d’un environnement dégradé, où les huiles de moteurs suintant des lavages intensifs d’engins roulants, ont fini par polluer cette « historique » rivière, avant bientôt de la tarir. Regrettable.
La préfecture de Beyla doit relever ce défi et, faire revivre cette rivière qui l’a rendue célèbre.
JMJ